Les 24 heures de l’Atlas :
“I’m karting in the rain !”
Lors du dernier week-end de
janvier, se déroulaient, en plein cœur de La Palmeraie de Marrakech,
Les 24 heures de l’Atlas. Concocté par Atlas Karting et Iristravel,
soutenu par l’A.S.C.O. Gazelles, ce rendez-vous de karting qui
s’organisait précédemment avec Karim Benfellah, prenait lors de cette
édition une nouvelle tournure.
Pour la première fois cette année, en
partenariat avec Action Karting, la course mettait en scène un
matériel de haute technologie, des karts de compétition « 2 temps »,
conçus avec les châssis C.R.G. et les moteurs Maxter.
L’assistance technique professionnelle encadrée par Danilo Rossi,
cinq fois champion du monde, fut exempte de tout reproche, hormis de
nombreux changements de bougies, ces 24 heures ne connurent aucun
changement de pneus ni de moteurs. A l’image du team Sacy-Redeim
formé de six joyeux lurons, bon nombre de participants viennent dans un
esprit de détente et de loisir bien plus que dans une optique de
compétition, tandis que certains concurrents plus ambitieux - comme
Matéo Bobbi, champion du monde GT FIA sur Ferrari - n’ont
d’autre objectif que d’accéder au podium final.
Au total, 16 équipes s’affrontèrent
sous une pluie incessante, parfois torrentielle, attendant vainement le
légendaire soleil marrakchi, mais ça n’est qu’une fois le drapeau à
damier noir et blanc agité, que l’eau cessa de tomber pour laisser place
à la remise des prix. Catherine Briffa, technico-commerciale d’Atlas
Karting peut être fière de cette manifestation, loin d’être un
mauvais clone des éditions précédentes. Pilote chevronné, grâce à son
manager Nicolas Klock, Catherine espère bientôt signer avec
British Petrols en formule Ford, mais elle souhaite également
redonner aux 24 heures de l’Atlas toute leur splendeur d’antan,
en retrouvant les faveurs de Karim Benfellah, qui organisait
simultanément, sous des trombes d’eau, Les 24 heures d’Essaouira,
dispersant ainsi les amateurs de ces petits bolides décapotés. Alors,
pourquoi ne retenteraient-ils pas de se mouiller ensemble l’année
prochaine ?...
La
projection diapos, c’est maintenant !
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