Quelle est votre
situation matrimoniale actuelle ?
Célibataire et
fort content de l’être !
A 46 ans, vous
n’êtes toujours pas marié… Vous comptez rester vieux garçon jusqu’à la fin
de vos jours…
Oui, parce que je suis
un prédateur, il n’y a que la nouveauté qui m’intéresse et qui m’excite.
(rires)
En fin de compte, ce
célibat, c’est un bon concept parce que vous n’êtes pas l’homme d’une
femme mais de toutes les femmes.
Je te rassure : je
baise, quand même, j’aime le cul (rires)… J’aime la bouffe, j’aime
le vin, ne vous inquiétez pas, je n’ai rien du vieux garçon !
Ce n’est pas très
« gendre idéal », contrairement à l’image que vous avez eue pendant
longtemps ?
Je suis aussi à la fois
un gendre idéal de la télévision, très gentil, très souriant et très bien
élevé, c’est vrai (merci mes parents) mais il y a l’autre côté aussi qui
est le côté prédateur, je le redis parce que je suis un vrai prédateur, je
n’aime que chasser : faut pas m’amener le gibier…
Est-ce si difficile
de créer une relation sérieuse dans le milieu impitoyable du
show-business ?
Ah non, j’en ai eu des
idiotes ! Non, il y en a eu un paquet, il n’y a pas de problèmes de ce
côté là !
Mais sur le long
terme…
Mais je ne veux pas du
long terme. Comme je te le dis la nouveauté m’excite et en plus c’est vrai
quand tu es connu la situation change, les gens s’attachent beaucoup plus
à la façade qu’au reste. Donc ces filles que tu rencontres dans les
endroits à la mode, ce qu’elles veulent plutôt c’est être en photo dans…
Lyon People (rires) donc c’est très lié à ça si tu veux, donc… je
me méfie. Et l’amour, peut-être, viendra après. Mais je suis physique
quoi, si tu veux…
On va parler un petit peu argent…
Ça te gène que je te
parle de ça ? (rires) Je n’ai pas fini, je suis physique je te dis,
très physique. Je radote, mais c’est l’âge.
Etes-vous assujetti
à l’ISF ?
Oui. Malheureusement,
en plus maintenant comme je paie les impôts de l’année dernière et que
cette année je gagne trois fois moins, donc c’est plus dur, franchement.
Comment dépensez
vous votre argent ? Vous avez table ouverte dans la plupart des
restaurants de Paris, les marques de vêtements les plus prestigieuses vous
habillent gracieusement…
Cerrutti, Giorgio
Armani, les chaussures TODD’S… Ce que je fais de mon argent ? Et bien
j’aime les maisons. J’embellis toujours ma maison du Pyla. C’est une
maison au bord de la mer, que j’adore, où je vis bien et où je reçois
beaucoup d’amis surtout l’été. Puis j’ai acheté une maison à ma mère, puis
une maison à Bordeaux, et voilà, et je loue mon appartement de Paris.
Tous vos cachets
font office d’argent de poche, en fait ?
Mais ça va pas ! Et la
bouffe, comment je bouffe moi ?
Vous mangez au
restaurant !
Mais je paie ! Il n’ y
a que ce soir, j’espère que je ne vais pas payer ! (rires) Non mais
je paie forcément le restaurant, je paie aussi certaines fringues qui me
font plaisir, je suis un homme normal quand même.
Idem pour les
voyages, qui sont votre seconde passion. Est-ce votre fonction
d’ambassadeur du groupe Accor qui vous permet de garder ce teint hâlé
toute l’année ?
Effectivement je rentre
de Tunisie, mais je ne suis pas exactement ambassadeur d’Accor, je suis à
l’évènementiel du groupe. C’est-à-dire que j’organise soit l’ouverture
soit la relance d’endroits, et il y en a eu besoin, avec les attentats et
tout ce qu’il y a eu notamment dans les pays du Maghreb, mais il y a eu
aussi New York et de belles destinations.
Vous n’êtes donc pas
le seul à partager ce poste d’ambassadeur…
Mais il ne faut surtout
pas dire que je suis ambassadeur parce que c’est Monsieur Gérard Pelisson
qui est co-fondateur du groupe Accor - un monsieur important et éminemment
sympathique - qui est véritablement l’ambassadeur du groupe.
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